En 1989, quand Jaques SANDOZ, le producteur suisse est venu au Burundi en fin des années 80 pour explorer les possibilités de tourner son film « LA PART DU SERPENT », il a été mis en contact avec le jeune rêveur burundais qui avait déjà un projet d’un film court métrage, muet, 16 mm, intitule provisoirement « LE RETOUR FABULEUX DE GITO ». Ce projet avait été initie grace aux conseils techniques de Gilbert DUCARME, l’ami belge de Léonce
Après lecture du projet, Jaques a eu le flair d’un projet consistant et a aussitôt proposé à Léonce de développer le projet plutôt en long métrage, en 35 mm, sous le titre définitif « GITO, L’INGRAT ».
Le film a été finalement tourne en 1990 sous la coproduction Suisse (Jaques Sandoz Film Productions), France (Capital Entertainment Productions) et Burundi (Productions Cinématographiques du Burundi), ce dernier ayant une part de 10%.